sábado, 6 de outubro de 2007

Sur la robe elle a un corps

Le corps de la femme est aussi bosselé que mon crane
Glorieuse si tu t'incarnes avec esprit les couturiers font un sot métier autant de la phrénologie mes yeux sont des kilos qui pèsent la sensibilité des femmes tout ce qui fuit, saille avance dans la profondeur. Les étoiles creusent le ciel les coulours déshabillent sur la robe elle a un corps sous les bras des bruyéres mains lunules et pistils quandles eaux se déversent dans le dos avec les omoplates glauques le ventre un disque qui bouge la double coque des seins passe sous le pont des arcs-en-ciel ventre disque soleil les cris perpendiculaires des couleurs tombent sur les cuisses.